supposément vide, une question me taraudait, que jamais je n’osais poser à voix haute : « Il y a quelqu’un ? ».
Comme si l’apostrophe allait susciter l’opportunité d’une réponse.
Je me suis souvenu de cela durant ma première nuit (blanche) à La Brugère, hantée par les dizaines de résident.e.s
qui m’ont précédé. Alors, il y a quelqu’un oui ou non ?