Vincent Epplay
© Madeleine Decaux

Vincent
Epplay

Vincent Epplay, plasticien/musicien, élabore depuis le début des années 90, un travail d’expérimentation à partir d’une pratique indissociée des arts visuels et de la musique. À partir de dispositifs installés, son travail propose des situations d’écoute d’amplification sonore et visuelle à travers la réalisation de parcours ou d’espaces d’immersion.

L’implication du spectateur/auditeur est une préoccupation que l’on retrouve dans plusieurs de ses projets : À usages uniques (Public>), Jukebox pour musique sans titre (Palais de Tokyo), Cabine d’écoute (Centre Pompidou), Station des ondes  (Le 104), No descriptive méthode (le Dojo, Nice), Unholy Copy (Haus, Nantes), etc.

Depuis une dizaine d’années il se produit régulièrement en concert, en solo ou en collaboration, dans différents festivals en Europe ; avec Jac Berrocal & David Fenech en trio, le groupe Bader Motor et avec Samon Takahashi en ciné-mix sur les films inédits de Pierre Clémenti.
Il interroge les rapports sons/images avec les projets Mnémotechnie, Xénoglossie Radio, et Étude au microsillon ; ou en ciné/concerts.

Il a édité une dizaine d’albums pour différents labels : Blackest Ever Black, AKA, Brocolis, LDDR, Planam. Il continue à archiver des disques sans musique, des films 8 mm de méthodes et d’enseignement pédagogique, et des enregistrements ou documents papiers sans qualités d’auteurs avérées.