Déjà venue du 10 au 24 février, Justine Arnal revient en résidence pour travailler à son projet dont le titre sera Rêve d’une pomme acide.
Le point de départ de ce texte est une phrase qui s’est imposée à elle : « Autour de moi, les femmes pleuraient. » Le travail d’écriture l’a amenée ensuite à se demander ce que faisaient les hommes et la réponse a été « Autour de moi, les hommes comptaient. »
A partir de ces deux phrases, Justine Arnal compose deux fresques articulées l’une à l’autre. Une enfant en est la narratrice principale, organisant, par son regard et son silence, le montage qui permet de faire le lien entre les deux mondes évoqués.